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Le problème s'est posé dès 2004, quand le projet d'un renouvellement de la ville a été présenté par les lauréats du concours d'architecture de la CUS (communauté urbaine de Strasbourg). Ce renouvellement aurait compris un hôtel, un centre sportif et un casino.
Un tel projet ne manquerait pas d'investisseurs. Dominique Desseigne, le propriétaire du groupe Barrière, songeait dès 2005 à étendre sa chaîne de propriétés en Alsance, en bâtissant un casino à Strasbourg. Celui-ci serait le fleuron du groupe Barrière, qui détient déjà en Alsace les établissements de jeu de Niederbronn-les-Bains et Ribeauville.
En 2008, Jean-Jacques Gsell, l'adjoint au tourisme du maire Roland Ries a relancé l'idée, après avoir entrepris un voyage à Bordeaux. La visite en Aquitanie l'a fait vouloir appliquer à Strabourg les initiatives de succès de la capitale girondine. De plus, argumente Ms.Gsell, "pourquoi les Strasbourgeois devraient-ils aller à Baden-Baden, à Niederbronn-les-Bains ou à Ribeauville pour jouer au casino?" Il s'est montré confiant dans l'avenir de cette idée: "J'attends les propositions de financeurs privés".
La faisabilité du projet est quand-même mise en doute par de nombreuses voix. Beaucoup se montrent surpris et consternés que l'initiative appartienne à la gauche politique, alors que ses représentants devraient plutôt prendre en charge les problèmes sociaux. Ensuite, la population des 27 communes de la CUS compte 480.000 habitants, et non pas 500.000 nécessaires selon la loi.
La tension croît et pas mal de sociétés trouvent que la meilleure solution pour réussir dans le nouveau milieu concurrentiel est de conclure des partenariats fructueux.
La légalisation des jeux et des paris à distance a des enjeux élevés pour la Française des Jeux et le Pari Mutuel urbain (PMU), les actuels détenteurs du monopole sur les loteries, les paris sportifs et les courses de chevaux.
Si la Française des Jeux a conclu des partenariats "techniques" avec des sociétés spécialisées, le PMU a d'autres projets. Bien qu'il planifie une expansion de ses services - des paris pour tous les disciplines sportives - le PMU ne veut pas signer des partenariats.
Avec cette politique auto-suffisante, la société pourrait s'adjuger un quart du marché des paris sportifs sur internet, avec des gains de 400 millions d'euros par an.
Mais les deux mastodontes sus-nommés ne sont pas seuls dans le paysage français des jeux. Dans l'effervescence qui anticipe les changements, les partenariats et les investissements s'enchaînent: Mangas Gaming a acheté successivement BetClic, Expekt et Bet-at-home, Free a noué un partenariat avec ChilliGaling, sans parler des préparatifs des groupes Partouche et Barrière.
Il reste encore aussi à explorer le domaine des investissements publicitaires, des contrats de sponsoring et des accords avec les médias. L'atmosphère étant encore tendue en raison des prohibitions en vigueur, les sociétés sont conseillées de patienter encore. En attente, la FDJ a signé des accords avec RTL, Canal Plus et France Télévisions, tandis que le PMU a lié son nom des événements sportifs majeurs, tels Tour de France, Top 14 de Rugby et Rolland Garros.
Ainsi, ceux qui militent pour un environnement virtuel de jeu légal aux Etats-Unis misent également sur la sensibilisation du public. "The Safe and Secure Internet Gambling Initiative" a lancé une campagne censée convaincre les législateurs de mettre fin à l'interdiction des jeux en ligne. La campagne est en même temps destinée à éduquer le public à l'égard des dangers que suppose une industrie non-réglementée, fonctionnant en illégalité.
Les organisateurs de la campagne plaident pour la régulation des jeux sur Internet afin de protéger les millions d'Américains qui continuent à jouer illicitement. Le message ne restera pas inentendu par le gouvernement fédéral, car il avance aussi les bénéfices économiques dont jouira l'Etat suite à la réglementation de l'industrie.
Jeffrey Sandman, le porte-parole de la Safe and Secure Internet Gambling Initiative a transmis nettement ce message: "Puisque le Congrès cherche des moyens de financer la réforme des soins de santé et d'autres programmes valeureux, il convient de mettre fin à l'infructueuse interdiction des jeux en ligne et commencer à collecter les impôts sur les milliards perdus pour l'instant en faveur des opérateurs étrangers non-autorisés".
La campagne jouira des espaces publicitaires dans des publications américaines prestigieuses, comme The Washington Post et The Huffington Post.
Barney Frank, l'initiateur du projet "Internet Gambling Regulation, Consumer Protection and Enforcement Act", ne restera pas les bras croisés. Il a annoncé qu'une audience à ce sujet serait tenue cet automne. Frank se montre surtout préoccupé par les droits des joueurs américains.
Ce qui a urgenté le processus est le fait que le gouvernement a repris les droits sur l'Asociación del Fútbol Argentino - l'organisme qui régit le football argentin. Les autorités espèrent sauver ainsi un grand nombre de clubs menacés de faillite.
Ce qui compte réellement dans cette décision, c'est l'amour des Argentins pour le football. Dans cette période difficile pour les clubs, cela est une épreuve politique majeure pour les dirigeants. La légalisation des jeux en ligne relancera l'activité et remplira les caisses de l'Etat, appauvries par la banqueroute du football.
Anibal Fernandez n'a pas infirmé, ni confirmé ce fait, considéré comme une rumeur. "C'est un autre sujet", avait-il commenté à une conférence.
Quoi qu'elle en soit la raison, les choses bougent: "Nous travaillons de sorte que cette législation soit adoptée dans deux ou trois mois", a annoncé l'officiel.
"Pour être honnête, les ventes marchent bien puisque nos affiliés ont montré un vif intérêt pour nos produits et services. Ils apprécient particulièrement le fait que nous avons une si large offre de paris sportifs et que nous pouvons bien fonctionner sur le marché mondial et local à la fois", a déclaré Shaun O'Neill, le manager du programme d'affiliés de NGG.
Shaun O'Neill est lui-même considéré comme l'un des plus importants "atouts" du programme. Il travaille dans ce secteur depuis quatre ans et jouit d'une grande popularité dans l'industrie.
"Nous sommes chanceux d'avoir Shaun à bord", a confié le PDG du groupe, Per Hellberg. "Il connaît bien cet aspect de l'industrie et comprend exactement ce que veulent les affiliés. Ce programme sera un beau complément à nos activités déjà couronnées de succès".
Le groupe présentera son nouveau programme d'affiliés en ligne à la Conférence des Affiliés organisée à Budapest, entre le 10 et le 13 septembre. Le programme d'affiliation utilise le logiciel du réseau Income Acces.
Nordic Gaming Group Ltd. est en expansion depuis sa fondation en 2002. Toutes ses trois marques, NordicBet, TrioBet et Tobet, offrent des paris et des jeux de casino qui attirent des joueurs du monde entier. Le domaine principal d'intérêt de NGG restent, quand-même, les sports européens. NordicBet agit sur une aire géographique qui comprend le Danemark, la Norvège, la Suède et la Finlande. TrioBet représente la branche balte du groupe, couvrant l'Estonie, la Lettonie et la Lituanie. Tobet est orienté vers les marchés lucratifs polonais, hongrois et roumain.
Le projet de loi PLS 121/2008 devra encore surmonter de nombreux obstacles pour produire des effets. Il suivra la voie des comités parlementaires, avant qu'il soit débattu au Sénat et à la Chambre brésilienne des députés et aux deux chambres du Congrès. Si ce projet est finalement adopté, il mettra en doute l'avenir du marché latino-américain pour lequel de nombreux opérateurs ont de grands espoirs.
La proposition d'une telle loi a été initialement faite par le sénateur Magno Malte au printemps de 2008. Selon les bulletins média, un projet complémentaire sera aussi rédigé. Celui-ci prévoira l'interdiction de traitement des paiements par le biais de l'infrastructure financière brésilienne et comprendra des mesures pour obliger les fournisseurs de services internet de bloquer l'accès des utilisateurs aux sites de jeux d'argent.
Une tentative similaire, initiée au Brésil en 2007 et visant les sites de paris sportifs, a échoué dans le processus législatif et l'interdiction n'a pas été mise en oeuvre.
L'initiateur du projet, le sénateur Filho, reconnaît que le projet a été inspiré par l'UIGEA des Etats-Unis et par l'impact que cette loi a eu sur l'industrie des jeux en ligne.
"L'UIGEA a adopté une stratégie qui vaut la peine d'être appliquée dans notre juridiction", écrit le sénateur Filho. "Comme il n'est pas possible de punir les détenteurs des sites basés à l'étranger, nous punissons ceux qui rendent ces sites accessibles à travers notre territoire national. C'est pourquoi la loi nord-américaine et ce projet de loi sont principalement dirigés vers les fournisseurs de services Internet, les banques et les sociétés de cartes de crédit".
Toute cette affaire met en embarras les grands opérateurs de jeux de taille internationale, déjà actifs sur le marché brésilien. A présent, ceux-ci promeuvent intensément leurs activités dans le pays.
A force de créer l'infrastructure légale nécessaire, le pays pourrait attirer la présence d'un bon nombre d'investisseurs qui donneront un coup de pouce à l'économie irlandaise. Un rapport réalisé par DKM Consultants montre que si le pays ne gagnait que 5% de l'industrie globale des casinos, cela suffirait pour développer une industrie locale de 2,2 milliards d'euros générant 5,000 emplois et un salaire moyen annuel de 40,000 euros.
Mais la législation reste une entrave réelle à la réalisation de tels projets. La loi qui régit le domaine est "Gaming and Lotteries Act", qui date depuis 1956 et empêche les opérateurs de casino de travailler en Irlande. Le ministère de Justice et de la Réforme Législative a décrit la loi comme "un vestige de l'histoire sociale, tout à fait inadapté à réglementer efficacement les jeux dans un Etat européen moderne et riche".
Dans ce contexte, des associations et des clubs de jeux ont commencé à faire des pressions en faveur d'un changement législatif. "Gaming and Leisure Association" fait du lobby depuis trois ans. David Hickson, le président de l'Association, est confiant dans le potentiel du pays: "L'Irlande a de grosses chances de s'imposer comme un pôle du secteur des jeux en ligne. Le délai pour obtenir ce droit est très court", avise-t-il, en craignant la concurrence de la part des voisins. Le Royaume-Uni est le plus proche des concurrents, mais son système d'impôts est fort critiqué par les investisseurs qui choisissent d'autres destinations pour se faire octroyer des licences. "La France et l'Espagne sont en cours d'élaborer leur législation, donc, l'Irlande doit se hâter", opine Hickson.
"L'accent doit être mis sur la création d'emplois dans une industrie qui est tout aussi importante pour l'avenir que l'informatique, les finances ou l'industrie pharmaceutique". Et, en ce qui concerne les dilemmes d'ordre moral qui pourraient enrayer la mise en oeuvre d'une législation favorable aux jeux, David Hickson explique: "S'ils (les législateurs) craignent des réactions portant sur la moralité des jeux, cela est insensé. Il s'agit d'une industrie très réglementée et sophistiquée. La protection des joueurs peut être facilitée plus sérieusement en ligne. Tout est enregistré et chaque partie est surveillée. On n'accepte pas de mises qui ne soient pas en argent comptant et la limite de dépenses est de 250 euros".
Par contre, ce qui devrait poser des questions est le marché noir ou "gris" des jeux, qui fleurit justement sur le fond du manque de régulation. Ce marché prive l'Etat de l'argent provenu des taxes, qui pourrait remplir ses caisses.
Alors qu'ils étaient soumis à la législation britannique, les sites de paris en ligne tels William Hill et Ladbrokes ne courraient pas le risque d'héberger des paris douteux. Les représentants des ligues font valoir que la loi sur les jeux (Gambling Act) est essentielle pour empêcher la falsification des matchs et la corruption dans l'industrie des jeux. Si les opérateurs déménagent à Gibraltar ou ailleurs, leurs services seront peu sûrs pour les clients, soutiennent les ligues.
William Hill et Ladbrokes ne sont pas les seuls opérateurs de casino en ligne qui cherchent à s'échapper aux lourds impôts du Royaume-Uni. Les taxes sont dix fois plus élevées que ceux à l'étranger.
Mais les experts de l'industrie des jeux voient la collaboration entre les associations sportives et les sites de paris comme le meilleur moyen d'éradiquer la corruption. Or, avec des sites ne plus tombant sous l'incidence de la législation anglaise, cette chose ne sera pas possible.
L'Assemblée Nationale de la France devrait examiner cet automne le projet de loi sur l'ouverture à la concurrence du marché des paris en ligne. Il s'agit des paris hippiques mutuels, paris sportifs à cote et poker. L'ouverture effective devrait se passer le 1er janvier 2010. Mais la procédure législative avance sinon difficilement, au moins à pas comptés. Le projet de loi a été adopté par la Commission des Finances de l'Assemblée Nationale dans la nuit du 21 au 22 juillet; néanmoins les mécontentements autour de son texte sont à peine au début.
L'Association Européenne des jeux et des paris (EGBA) est le plus grand protestataire. Ce qui a surtout déplu aux opérateurs européens de jeux de casino réunis sous l'ombrelle de l'EGBA est la mesure "anti-trucage" que le législateur a compris énoncer dans le projet. Cette mesure consiste à attribuer aux organisateurs d'événements sportifs le droit de propriété sur ces événements. Cette prévision signifie que l'organisateur d'événements dispose de plein droit de l'exploitation de tout événement et par conséquent, les sites voulant organiser des paris doivent signer un contrat avec lui.
La mesure, vouée à "préserver l'intégrité du sport", a été défendue par le gouvernement et le monde sportif, mais dénoncée par plusieurs parlementaires et par l'EGBA. "Les membres de l'EGBA ont été toujours disposés à payer des taxes et à contribuer aux fonds des fédérations sportives, mais l'Association s'oppose à ce qui serait un précédent en Europe: il n'y a pas de lien entre le droit d'effectuer des paris sportifs et l'intégrité du sport" (la déclaration de Maarten Haijmaer, le directeur pour les Affaires réglementaires de l'EGBA).
Beaucoup ont dénoncé la mesure comme un prétexte utilisé par les autorités françaises pour augmenter les taxes. L'EGBA a ajouté que les sociétés françaises autorisées affectées par la croissance des taxes vont finir par promouvoir des ligues pour lesquelles elles n'ont pas à payer de droits. Les ligues sportives de France n'auront qu'à perdre de toute cette affaire.
Jean-François Lamour, le rapporteur du projet de loi à l'Assemblée Nationale a ainsi proposé un amendement à la loi, lui-aussi controversé. Selon cet amendement, qui a été finalement adopté, les organisateurs d'événements pourront négocier au cas par cas avec les opérateurs de paris les conditions d'exploitation des événements.
On espère notamment qu'il va relancer les relations amicales avec la Chine continentale, ce qui va ouvrir la voie à de nouvelles politiques dans le domaine des jeux. La levée des restrictions en matière de visas entre Macau et la Chine continentale sera un grand accomplissement.
Le résultat des élections n'est pas surprenant, compte tenu que Chui a été le seul candidat. Sa nomination a été une simple formalité et Chui doit prendre ses fonctions le 20 décembre 2009. Son mandat prendra fin après cinq ans.
Macau est le seul endroit en Chine où les casinos sont légaux. Le secteur a enregistré dans les dernières années une croissance explosive. Suite aux restrictions imposées par le gouvernement chinois, les casinos de Macau ont enregistré les premières pertes.
Chui a promis de diversifier l'économie de la province, pour qu'elle ne soit plus tellement dépendante des recettes provenues de l'industrie des casinos. Il est également prévu que la législation en matière de jeux sera réexaminée par le nouveau leader.
Dernièrement, la rumeur court que la marque "World Poker Tour" sera acquise par la société de jeux en ligne Bwin. Les organisateurs du tournoi ont confirmé qu'ils avaient fourni des données confidentielles aux parties intéressées par l'acquisition de la marque et des séries télévisées afférentes. Mais, bien qu'aucun commentaire officiel sur l'identité de ces parties n'ait été fait, au top de la liste des offrants se trouvait la société Bwin.
"On a discuté et on a échangé des documents avec certaines entreprises qui ont exprimé leur intérêt", a déclaré Steve Lipscomb, le directeur exécutif WPT. Les détails des pourparlers ne sont pas encore disponibles: "Nous pouvons vous dire seulement que nous avions fourni des données confidentielles à des tiers", a expliqué le chef de la direction financière WPT Tom Flahie.
Après deux années de pertes, le WPT a conclu un dernier trimestre noir. Et la valeur actuelle de l'affaire est à seulement quelques pour cent des 500 millions de dollars, sa valeur initiale. Selon les critiques, le déclin aurait été causé par les décisions risquées prises par Lipscomb et ses subordonnés.
Qu'il s'agisse de Bwin, d'un autre casino en ligne ou de quelque réseau de télévision, l'investissement en WPT pourra être profitable. Les opérateurs de jeux pourront utiliser la marque pour gagner une partie du marché de poker des Etats-Unis. Lorsque le marché américain sera ouvert, le Tournoi Mondial de Poker deviendra également un concurrent direct pour les Séries Mondiales de Poker.
L'industrie des jeux en ligne se renouvelle, en diversifiant les offres. Après l'innovation du groupe Barrière qui a lancé au Royaume-Uni le casino en ligne 3D LeCroupier.com, un autre géant du marché a la même initiatiative. Il s'agit de l'opérateur 888.com, le célèbre groupe basé à Gibraltar qui a l'intention de changer la face de toutes ses opérations, en les recréant en 3D. Cette relance est prévue pour l'automne de 2009 et peut s'avérer la stratégie parfaite pour attirer un plus grand nombre de clients.
"Le groupe va créer cet automne une nouvelle interface utilisateur pour l'appliquer à tous ses jeux de casino, y compris la roulette et le blackjack", rapporte CityAM.
Ce ne sera pas la première initiative de ce genre de 888.com. Au mois de mai de l'année passée, le groupe a changé la version de logiciel du site Pacific Poker. Les opérations de jeu ont été améliorées et 888.com a présenté le changement comme une nouvelle expérience pour les joueurs. La nouvelle version propose trois expériences correspondant à trois perspectives de la table de jeu: Classique, Avatar - une table ronde tridimensionnelle avec des avatars, et Perspective apparente (Clear View) - une table tridimensionnelle sans avatars.
La principauté de Monaco est depuis longtemps consacrée comme le paradis européen des casinos. Mais la crise financière mondiale s'est fait ressentir dans les luxueux établissements qui abritent les tables de jeux. Les rapports de la Société des Bains de Mer (SBM), qui détient le monopole des jeux à Monaco, indiquent un recul évident. La SBM avait enregistré des croissances pendant trois exercices consécutifs et le recul a fait la différence entre un chiffre d'affaires de 210.7 millions d'euros pour cet exercice et les 259.6 millions lors de l'exercice précédent. La baisse est de 19%. Le groupe des Bains de Mer gère cinq casinos, mais également des hôtels et des restaurants de luxe. A la base de cette régression se trouveraient également l'interdiction de fumer dans les lieux publics et le désintérêt inquiétant de la clientèle américaine. "Le rendement des machines à sous situées dans un espace fumeur est de deux fois et demi supérieur à celles se trouvant dans un espace non-fumeur", a commenté Bernard Lambert, directeur général de la SBM. Le recul crée un engrenage qui entraîne non seulement les chiffres d'affaires, mais aussi les ressources humaines. Les emplois sont déjà affectés, pour ne parler plus de la réduction des embauches. Le secteur hôtellerie est aussi pénalisé avec une baisse de 6%, par rapport à l'exercice passé. Tout dépend maintenant de l'activité prévue pour les mois de juillet et d'août. Comme d'habitude, les plus attendus dans les casinos sur le Rocher sont les Italiens, les Français et les Anglais. Les Américains et les Canadiens visitent de moins en moins les casinos de Monaco, tandis que les citoyens de l'Europe de l'Est sont de plus en plus attirés par ce pays de rêve.
Les sociétés Ukash et MasterCard ont récemment signé un accord qui permettra à Ukash de lancer en Europe un service novateur MasterCard Repower. L'accord fait partie d'une initiative stratégique visant à permettre aux clients de déposer de l'argent sur leurs cartes MasterCard et Maestro. Basée au Royaume-Uni, Ukash est une société qui offre des services financières à beaucoup de maisons de jeux européennes. Ukash a un réseau mondial de 275.000 locations et traite plusieurs millions de transactions chaque année, avec des valeurs supérieures à 100 millions d'euros. MasterCard rePower sera premièrement utilisé au Royaume-Uni et s'étendra en Europe à l'aide des partenaires Ukash. La valeur d'une transaction effectuée sur MasterCard rePower sera immédiatement disponible et le client pourra le dépenser sur tous les sites qui acceptent MasterCard. Le nouveau service offre quelques avantages importants: un processus en temps réel et l'accès immédiats aux fonds; plus d'endroits pour recharger le compte ; la sécurité garantie par la marque MasterCard. "Le partenariat avec MasterCard pour le lancement de MasterCard rePower est une étape très importante pour Ukash", a déclaré le chef de la direction de Ukash Mark Chirnside. Celui-ci a salué la popularité croissante des produits prépayés, en la considérant "symptomatique pour un changement dans le comportement des consommateurs".
Le 3 mai, la grande finale de l'EPT 2009 a achevé un tournoi fructueux, en offrant les lauriers de la victoire suprême à Pieter de Korver et à Vanessa Rousso.
Pieter de Korver est un jeune joueur de 26 ans, originaire des Pays-Bas. Pour gagner la Grande Finale du Main Event, il a dû mener un âpre combat contre des adversaires sur mesure.
Au tournoi ont participé 935 joueurs, mais sur la première marche du podium il n'y avait qu'une place. Et cette justement cette place tant convoité que l'Hollandais a occupée. Avant de décrocher le grand pot, de Korver a affronté dans le heads-up le redoutable Matt Woodward. La sort de la partie a été décidée lors d'une main où le flop est venu 10-6-5, coeurs. Woodward a parié 700.000$, de Korver a relancé all-in et Woodward a fini par suivre. De Korver avait 9-6 pour la paire moyenne, tandis que Woodward avait 6-4 et un tirage à la couleur. Le tournant a apporté un Q de pique, qui n'a aidé aucun d'eux. La rivière est tombée sur un 7 de pique et de Korver a ainsi obtenu le titre de la Grande Finale EPT. Woodward a obtenu quelque 1.72 millions de dollars pour sa deuxième place, tandis que de Korver a empoché 3.05 millions, ajoutant dans son palmarès un titre qui lui fait honneur.
Tel que mentionné, l'autre gagnant d'un événement important EPT, déroulé au casino Monte Carlo Bay, est, en fait, une gagnante. Elle a remporté le grand prix de l'événement High Rollers, disputé dimanche. L'événement a rassemblé quelques grands noms du domaine, y compris des professionnels de haut rang, comme Phil Ivey, Barry Greenstein et Gus Hansen. A la fin, c'est la Franco-Américaine Rousso qui a gagné le titre. Depuis peu, la joueuse passe par une belle étape et a récemment fini en deuxième au National heads-up Championship 2009, pour 250.000$.